24/09/2016 du soleil, de la bonne humeur et des routes presque inédites.

6 au rendez-vous de ce samedi après-midi à 14h : Guillaume, Jean, Jonathan, Nicolas, Philippe J. et moi.

Comme prévu, l’homme aux espadrilles est venu nous saluer mais aussi prendre des photos pour le trombinoscope.

 

 

 

 

 

Papotage, bla bla bla, nous partons à 14h20 sous un soleil estival, une température de 24° vers le sud-est pour avoir le vent de face sur la première moitié du parcours.

 

 

Jean-Claude se joint au groupe in extremis, nous sommes donc 7 pour cette sortie.

Le vent, on l’a bien senti car il soufflait aujourd’hui à 20/25 km/h du sud-est avec certaines rafales approchant les 40km/h.

J’avais concocté un itinéraire avec des routes que le club n’a pas l’habitude d’emprunter pour, un peu, changer de la routine.

Arrivés au sud de Mongé-en-Goële, certains se sont effectivement sentis un peu perdus.

Avec déjà 40 km dans les jambes depuis le départ de Senlis, le vent de face sensible, le dénivelé positif assez élevé et le manque de repères connus, le doute a commencé à s’insinuer dans l’esprit de quelques uns :

 

Car là où l’on se trouvait, il était évident que ce parcours faisait beaucoup plus que les 85 km annoncés au départ !

Jean-Claude nous a quitté à Saint-Witz pour rentrer au plus court pour essayer d’être à l’heure pour son rendez-vous. Désolé, le retour a pris un peu plus de temps que je ne l’avais imaginé, bien que…….

On a laissé Jonathan à La Chapelle-en-Serval au bout de 76 km. Bravo, Jon, un peu dure la sortie d’aujourd’hui mais tu vas en ressentir les bienfaits dans peu de temps, accroche-toi, ça va payer !

Guillaume et Jean ont bifurqué direction Chantilly car en fin de compte, il leur en fallait un peu plus avant de rentrer.

Nicolas, Philippe et moi sommes rentrés à fond de train par l’ex nationale 17 et avons rejoint le square à 17h20 avec 86 km aux compteurs au lieu des 85 prévus alors que l’on revenait de nulle-part !

Beau dénivelé positif de 741 mètres à l’arrivée.

 

Cela fait du bien d’aller de temps en temps dans l’inconnu, non ?