Ermenonville nous voici !
Ce matin, j’avoue être arrivé un peu à la bourre au rdv dominical avec aucune excuse valable si ce n’est un réveil tardif assorti d’un torticolis. Quoi qu’il en soit, je retrouvait avec plaisir toute la troupe du jour savoir Patrice, Thibault, Patrick, Roland, Pierre, Guillaume et Jean. Au programme Ermenonville dans l’air frais typique de mars malgré les tentatives d’apparition du soleil.
Pierre, après avoir eu les oreilles qui sifflent lors de son absence dimanche dernier et surtout surtout afin de montrer qui c’est le patron, pris les rennes pour nous guider par sentiers et layons. Sans offrir le moindre répit pour les braves, Après un passage hors piste autour de la mare aux sangliers, Thibault aiguillonné par Pierre et Jean accéléra jusqu’à perdre la moitié de la troupe. Lors de notre recherche mutuelle, nous eûmes le plaisir de croiser une bonne dizaine de nos amis de Baron. Le temps d’une courte bise avec Baron et des retrouvailles avec les retardataires, nous repartons plein Sud. Pierre continua à nous guider toujours plus vite et toujours plus raide jusqu’à la Mer de Sable puis l’Etang du Desert.
Arrivés aux abords forestiers d’Ermenonville, nous profitâmes tous des magnifiques paysages arborés mis en valeur par les timides rayons du soleil. Patrick et Roland décident alors d’une pause gastronomique bien méritée, tandis que Pierre relance le groupe pour brûler davantage de cuissôt. N’ayant pas tout compris à la manœuvre, après quelques layons je rebrousse chemin pour aller chercher les deux compères en quête d’intimité (avec la nature). Durant ce temps les autres s’arrêtent pour nous attendre à l’exception de Pierre (dont le temps de sortie était compté). Dès que Patrick, Roland et moi retrouvons les autres, le situation se clarifie et les intimes nous laissent pédaler davantage tandis qu’ils prennent le chemin du retour.
Dotés d’un sens de l’orientation hors du commun, nous prenons alors la direction opposée pour aboutir à Montaby (Mortefontaine). Le retour fut un peu moins bien optimisé qu’il l’aurait été avec Pierre. Après une brève course sur la route, nous reprenons les bois pour zigzaguer entre le route forestière et autoroute.
Finalement, nous avons au compteur 45km avec pas mal de terrain sablonneux et pierreux comme on n’en trouve qu’en Ermenonville.
A l’arrivée, nous eûmes la joie de voir arriver Richard au bout d’une reprise route 85km. Après avoir repris son souffle, il pu nous donner des nouvelles des tenues tant attendues. Elles sont arrivés chez l’intermédiaire, ce n’est donc plus qu’une question de jours pour que nous puissions les enfiler.
Pour info: aujourd’hui se tenait la randonnée de la Goëlle (45km), information découverte un peu tard à la croisée des coureurs. Nous ne raterons pas la prochaine.
Bon dimanche à tous et surtout bonne semaine.