La Trace de la Harde 2018
Beau et sec, après dissipation des brumes et brouillards matinaux, voila le temps qui nous était promis pour cette édition poussiéreuse de la Trace de la Harde. En effet la forêt d’Ermeonville habituellement sablonneuse est, avec la sécheresse, soit très très sablonneuse et il y est difficile d’y progresser, soit dure comme de la pierre et l’on y file dans un nuage de poussière mêlée de feuilles. Dans les 2 cas pas une goutte d’eau ou la trace d’un vestige de flaque…
Beau et sec oui mais froid! 2°C au compteur au point de rdv ce matin en attendant Roland et Yves. Petite précision : nous (Edern et Guillaume) ne verrons jamais ni l’un ni l’autre. En effet Yves s’est rendu à Survilliers directement et est parti bien avant nous puisque nous attendions Roland qui, de peur que lui prenions 20km sur 55, a préféré abandonner le défi.
Beau et Sec, certes mais après 50km à 18-19 de moyenne, j’ai eu, comme qui dirai, une défaillance. A ce niveau, du jamais vu : j’ai même imploré Edern de me laisser mourrir dans un fossé pour ne pas le retarder. J’ai donc fini dans la galère et les crampes à me faire doubler par des mémés en vélo de ville… De surcroit une .alope de guêpe m’a piqué à l’aisselle! Tu m’étonnes avec ce temps elle n’a plus toute sa tête non plus. La galère j’vous dis!