Vive le mois de Mai
Ce matin, dimanche de l’Ascension, le temps était idyllique: un grand soleil, un ciel bleu sans nuage et le tout avec une température estivale. Ceux disponibles pour en profiter s’étaient donné rendez-vous au square des Jardiniers. Patrick sujet à une petite forme en ce moment (on passera sur les détails) troqua son VTT pour une sortie route en solo. Ce qui ramena le groupe des VTTistes à une poignée d’aguerris: Thibault, Roland, Pierre, Guillaume et Olivier.
Le temps l’imposant, nous sommes partis profiter des pentes boisées de la belle Halatte. Pierre, comme à l’accoutumée, nous avait concocté un parcours associant difficultés, plaisirs et paysages. Je vous passe les détails tellement ils sont nombreux et épiques. Notre objectif repère comme toujours était le Mont Pagnotte et son belvédère. Pour y arriver, ce n’est pas les possibilités qui manquent. Pierre, c’est simple, choisi les layons les plus vallonnés. Sinon, je me le demande, où est le plaisir ?
Roland ne manqua pas de chuter. Son premier contact avec le sol eu lieu dès la sortie de Senlis (faut croire qu’il le fait exprès). Puis à mi parcours, il y eu possibilité offerte de passer un tronc d’arbre couché en travers du chemin. Pierre le sauta avec brio tandis que Roland y planta son plateau pour finir couché à plat ventre derrière et le long du tronc. Il s’en suivi sans doute d’autres gamelles mais désormais sans intérêt aucun, tellement la précédente était belle (et sans dommage).
Après avoir gravi le Pagnotte, joué dans les layons aux alentours puis redescendu en mode BMX, nous arrivâmes à la route forestière. Et là quel surprise: un Patrick nous y guettait, tranquillement au soleil !
C’est avec grand regret que nous dûmes nous séparer de nouveau, le laissant repartir seul de son côté sur la route, tandis que nous passions dans les bois côté Verneuil. Le retour fut chaud pour les cuissots en raison des dernières buttes que nous avait réservé Pierre. A tel point que Roland pris la clé des champs au pied de la dernière ascension, et coupa au plus court (si plus court il y avait). Guillaume se retrouva alors à son tour en difficulté après ses 80km route de la veille.
Ce temps magnifique et notre forme olympique nous amenèrent à faire finalement 50km avec environ 800m de dénivelé (carte Strada ici) en 3h11 de roulage.
Valeur du jour: 59km/h vitesse de pointe atteinte par Pierre lors d’une descente.
Bon dimanche et bonne semaine à tous.