Jan 21 2018 21 janvier 2018 21 janvier 2018 de Patrick

Vous auriez dû venir !

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Excellente sortie ce matin.

Pourtant, l’affaire paraissait mal engagée en voyant le plateau du jour….

Edern, désormais le plus assidu (sauf crevaison), Fred toujours en pleine bourre, Jean Luc qui a maintenant bien apprivoisé sa nouvelle monture, Thibaut en retard au rendez vous … mais pas pour les sprints et autres franchissements et Richard accompagné de Thierry et Stephane dont on pouvait immédiatement conclure qu’ils n’étaient pas là pour tricoter en queue de peloton, et Patrick ….

A déplorer les absences des blessés : Roland tendinite persistante du genou (préfère consacrer son temps à faire les soldes), Pascal (déchirure musculaire en glissant – on attend toujours le détail de l’accident) et Olivier (toujours en délicatesse avec ses lombaires ?). En vérité, je vous le dis, c’est pas beau de vieillir !

Toutes les conditions étaient cependant réunies : Après les pluies de la semaine, on prévoyait un terrain gras et des pluies en fin de sortie; tous les ingrédients étaient donc réunis pour nous pourrir la matinée, mais s’était sans compter la détermination des 7 mercenaires…. + Patrick … car comme la semaine passée le retour a été dur sans les compères habituels.

 

Au total, 35 kms pour 400m de dénivelé sur un terrain particulièrement boueux. La crainte de l’arrivée de la pluie nous a prudemment incités  à un périmètre de jeux restreint à la Méditerranée, et les singles au dessus de la Mer de Sable.  C’était à la fin tout à fait suffisant pour Thierry qui malgré un manque de pratique, vous réserve de belles perspectives après 2 ou 3 sorties de décrassage.

 

Une autre rencontre nous aura surpris …. Philippe de l’AAE BARON, sentant la présence du VCS a ses basques, s’est lancé dans une accélération fantastique à la grande surprise de Thibaut. Que d’énergie, ce Philippe !

Mais, parce qu’il y a toujours un mais …. trouverez vous l’explication ????

 

 

Nous avons manqué notre ami JC qui a raté le RV dominical mais a du suivre notre trace sans toutefois pouvoir nous rattraper, à en juger par le selfie au Mémorial.